Whoop - presse

avem.fr le 15 Octobre 2010

Mondial 2010 - L'offre mobilité électrique de Tracetel

La société Tracetel, pionnière des technologies RFID dans le domaine de l'automobile, s'est fortement développée dans les systèmes de vélos en libre service, notamment avec KEOLIS (Agglos de Orléans, Rennes, Bordeaux, Pau, Montélimar, Laval, Angers, le Lusxembourg).

Tracetel se lance désormais sur le marché de la mobilité électrique en présentant une offre complète au Mondial de l'Automobile de Paris : véhicule électrique, bornes de recharge et libre-service...

Trois-roues électrique Whoop

Conçu pour répondre aux besoins des professionnels opérant dans les centres-ville, pour les systèmes de location ou d'auto-partage individuel en libre service, le Whoop.

Comme le MP3 de Piaggio, les deux roues avant sont directrices et s'inclinent dans les virages tandis que le moteur électrique propulse le Whoop avec deux niveaux de puissance, 4kW (45 km/h) et 6 kW (80 km/h). L'autonomie est annoncée à environ 140 km. Grâce à une largeur de voie suffisante et à sa carrosserie, il évite le port d'un casque et se classe dans la catégorie des tricycles. Pour l'heure, le Whoop passe les épreuves de l'homologation et Tracetel envisage une commercialisation dès le printemps 2011.

Bornes de recharge libre-service Podelec

Déjà fournisseur de Schneider Electric pour la mise en place d'infrastructures de charge à Strasbourg, Tracetel a ''redesigné'' sa borne PODELEC en créant deux versions : l'une complètement autonome pour des implantations isolées, la seconde insérée dans un ensemble de ''bornettes'' pour des applications groupées (parkings de grande surface, etc..) lance sa propre borne.

Ces bornes comprennent 2 prises de charge, une carte CPL permettant la communication avec le véhicule et sont accessibles par carte RFID.
Elles peuvent également s'intégrer, à moindre coûts, dans des villes utilisant déjà des systèmes de vélos en libre-service en mutualisant la borne d'accès. L'utilisateur pourra au final utiliser la même borne d'accès pour recharger son véhicule électrique ou emprunter un vélo, électrique ou classique, en libre-service...

Moto Revue de Juillet 2010

De Voxan au Whoop

L'officiel n°3779 de Juillet 2010

Le Whoop et après

scooter-infos.com le 8 Juin 2010

Le scooter 3-roues français

Si vous suivez l'actualité moto, le nom de Tracetel vous semblera sans doute familier puisque l'entreprise vient d'acquérir la ligne d'assemblage de feu l'usine Voxan. Déjà fournisseur de système de vélo en libre service pour une filiale de la SNCF, l'industriel des Yvelines ambitionne de s'attaquer au marché de la mobilité urbaine à la demande avec un trois 100% électrique.

Dénommé Whoop, ce concept s'appuie sur architecture qui rappelle celle du Piaggio MP3 Hybrid : deux roues à l'avant, une à l'arrière dans laquelle se trouve le moteur électrique. Le prototype développé en collaboration acec MBD Design et l'équipe Reflex-JBB - bien connue du petit monde des courses d'Endurance - est présenté aujourd'hui à la Porte de Versailles dans le cadre du Salon des Transports Publics. On notera la présence d'un toit fixe, façon BMW C1.

En attendant de le voir évoluer sur la route, voici une photo du prototype en action illustrant le mécanisme de la direction, notablement différent de ceux conçus par Piaggio et Adiva. (suivre le lien)

motomag.com le 31 mai 2010

Voxan : un avenir dans les motos électriques ?

Jean Emery est le président de Tracetel, entreprise spécialisée dans la fabrication de véhicules électriques. Présent à la vente aux enchères les 5 et 6 mai, il tente de rebrancher Voxan, en remplaçant le sympathique V-twin par un moteur électrique. Le pari n'est pas gagné, mais réalisé à moindre frais… Pourquoi avoir acheté la chaîne d'assemblage ?

Je suis motard, j'ai deux Voxan et 22 motos. Nous tenons à poursuivre la fabrication d'une moto en France.

Actuellement, Tracetel fabrique des 2- et 3-roues électriques. Nous fabriquons des vélos électriques pour la SNCF, on a des références sur les vélos en libre-service à Pau, Laval… Nous avons Schneider dans notre actionnariat.

Combien avez-vous acquis la chaîne d'assemblage de Voxan ?

Environ 20.000 euros. Ce n'est pas excessif.

Croyez-vous à la Voxan atmosphérique ou électrique ?

Nous croyons désormais à la Voxan électrique. On va en faire courir une l'année prochaine au championnat du monde de la FIM.

Nous avons déjà conçu un prototype, qui sera présenté en juin. C'est une conception entièrement nouvelle.

Ce n'est donc pas seulement la chaîne d'assemblage qui vous intéresse ?

Non, nous voulons avant tout maintenir une marque de moto en France. Et nous croyons à l'avenir de l'électrique. Nous avions présenté un projet de reprise en partenariat avec Sodemo (qui fabriquait les moteurs atmosphériques de Voxan), fin 2009.

Avec eux, on aurait fabriqué des motos à moteur atmo et électriques.

Le tribunal de commerce de Clermont-Ferrand n'a pas voulu de notre plan. Alors on est allé seul à la vente aux enchères, avec pour but de maintenir une marque de moto française.

Cela se fera dans le secteur qui nous concerne, à savoir les engins électriques. Nous tenterons d'acheter la marque Voxan quand elle sera en vente, toujours dans ce but.